Ce communiqué date de plus de deux ans
Ce communiqué date de plus de deux ans. Pour plus d’information, veuillez communiquer avec Amanda Gaudes de notre équipe des relations avec les médias.
Détails du communiqué
… Merci de cette présentation.
Bonjour.
C'est un plaisir d'être ici. Je suis très heureux de pouvoir vous parler du Musée canadien pour les droits de la personne.
Nous vivons en ce moment les premières semaines de ce qui s'avérera une année remarquable pour notre ville.
Pour notre province.
Je n'ai jamais vu, depuis que je suis adulte, le calendrier local aussi chargé d'activités vraiment nationales et internationales…
… des événements qui font connaître le Manitoba pour les meilleures raisons possible et incitent les gens à découvrir notre province.
- Les prix Juno
- Le dévoilement, au parc Assiniboine, du joyau de son plan pluriannuel de rajeunissement :
- Les Aboriginal Peoples Choice Awards
- Une visite royale
- Le 20 septembre…
… dans 234 jours à partir d'aujourd'hui…
… l'ouverture des portes du Musée canadien pour les droits de la personne.
Je vous invite à venir nous visiter quand le Musée ouvrira ses portes en septembre 2014.
Nous ouvrirons les portes d'un musée qui incarne le meilleur de l'esprit d'ici et de l'esprit humain;
… d'un musée qui deviendra un symbole d'espoir, d'optimisme et de fierté…
… pas seulement pour nos familles, nos collègues et nos amis, mais pour tous ceux et celles qui, du Canada et d'ailleurs dans le monde, repartiront d'ici inspirés, dynamisés, encouragés et désireux de revenir.
Le Musée canadien pour les droits de la personne accueillera le monde…
… mais il sera extraordinairement à jamais le nôtre, en tant que Canadiens et Manitobains.
Parce que le Musée canadien pour les droits de la personne reflète les contributions de gens de partout dans notre province et de partout dans notre pays.
À tous points de vue, votre nouveau musée a été un effort d'équipe d'une très grande ampleur, qu'il s'agisse des milliers de personnes qui ont appuyé le projet par leurs idées…
… ou des milliers d'autres qui l'ont appuyé par de généreux dons.
Plus de sept mille cinq cents donateurs (investisseurs).
D'ailleurs, je parle d'un grand nombre de personnes qui se trouvent ici ce matin.
Cependant, même si vous n'avez pas encore participé au Musée d'une manière précise, vous pouvez et devez revendiquer le mérite de sa réussite.
Pourquoi?
Parce que comme dans toute grande entreprise, il faut, pour bâtir, les bonnes conditions, le bon climat et la bonne attitude.
Il faut un climat de confiance. D'optimisme. De réflexion avant‐gardiste. Une volonté d'explorer de nouveaux projets et de nouvelles idées et d'y investir.
Ce climat existe dans cette ville et cette province.
C'est dans ce climat de chances à saisir et de perspectives que nous ouvrirons les portes du Musée canadien pour les droits de la personne…
… et le milieu des affaires d'ici, au Manitoba, a joué un rôle essentiel dans l'instauration de ce climat.
On peut le sentir dans les réalisations spectaculaires, galvanisantes et remarquables :
Les Jets de Winnipeg.
Ikea/Target.
Les investissements dans le centre‐ville de Winnipeg et son réaménagement, comme cela ne s'était pas vu dans une génération.
On voit aussi cet esprit d'optimisme et ce climat propice se manifester dans des réalisations de moindre envergure, néanmoins importantes :
Les chefs titulaires d'un certificat du Sceau rouge formés à Toronto qui auraient pu ouvrir leur nouveau restaurant partout au Canada, mais qui ont choisi River Heights.
Les entrepreneurs des médias numériques qui ont décidé que le meilleur endroit où installer leur siège social pour joindre leurs clients partout dans le monde…
… était un bâtiment patrimonial du quartier de la Bourse.
Le nouvel hôtel‐boutiques de la promenade Waterfront, qui a ouvert ses portes il y a quelques semaines à peine.
Ou les restaurateurs de Winnipeg qui ont vu dans nos hivers des Prairies non pas un obstacle, mais un atout…
… et décidé de créer un restaurant sur glace et d'y offrir des repas à quatre services à cent dollars, directement sur la rivière gelée.
Au fait, un souper est prévu ce soir et tous les billets se sont vendus depuis très longtemps. J'y serai.
Nous avions l'habitude d'associer ce type de créativité à d'autres villes. D'autres provinces.
Plus maintenant. Nous ne sommes plus des novices.
Le milieu des affaires manitobain a montré que notre province regorge de trois éléments essentiels :
Une vision imaginative tournée vers l'avenir.
Une bonne vieille ardeur au travail.
Et une conviction inébranlable que le Manitoba est un endroit exceptionnel où bâtir une entreprise et y investir.
Nous avons ici des fondements stables et solides. Et les données économiques le prouvent.
J'ai jeté un coup d'œil aux manchettes après la publication des prévisions économiques annuelles le mois dernier :
" Selon le Conference Board, les perspectives sont bonnes pour l'économie manitobaine. "
" RBC renchérit sur les perspectives prometteuses de l'économie manitobaine. "
" Les prix des maisons devraient augmenter de 3 pour 100. "
Quelle que soit la mesure utilisée, force nous est de constater qu'il existe ici ce que nous pourrions appeler " une nouvelle confiance ".
J'ai été chef de la direction d'une autre fière entreprise du Manitoba et je sais, comme vous le savez aussi, qu'un climat de réussite ne se concrétise pas simplement en ajoutant un peu d'eau et en remuant.
Ce climat se bâtit.
Une année après l'autre. Bout par bout.
Ce qui arrive aujourd'hui au Manitoba est le résultat des possibilités qu'ont vues des gens ici.
Qui ont choisi d'investir et de travailler sans relâche ici.
Qui ont pris des risques ici.
Qui ont créé des emplois et embauché des gens d'ici.
Qui ont élevé leurs familles ici.
Aujourd'hui, nous voyons partout autour de nous les fruits de leurs décisions.
Et c'est dans ce climat de chances à saisir et de perspectives que nous inaugurons le Musée canadien pour les droits de la personne :
… un projet qui contribuera directement au mieux‐être de ceux et celles qui vivent dans notre province et ailleurs…
… mais un projet qui est distinctement le nôtre.
Ce musée est fondé sur l'ingéniosité, la générosité, la confiance et la vision –
Des fondements stables qui ont été essentiels au risque immense de concrétiser l'idée d'une destination inspirante et de calibre mondial pour les droits de la personne…
… pour la mener jusqu'à l'ouverture, dans quelques mois à peine, d'un musée totalement unique au monde.
Ce musée voit le jour parce que des gens comme vous, ici aujourd'hui, en avez fait une réalité.
Il m'apparaît donc impératif que le musée redonne à son tour.
J'ai déjà dit, dans des salles comme celle‐ci, que la construction du musée, à elle seule, a créé des milliers d'emplois à temps plein.
J'ai parlé aussi des nouvelles taxes provinciales et fédérales que le musée créera à perpétuité.
Ce n'est pas rien.
Je tiens à le dire très clairement : ces répercussions, bien qu'importantes, ne sont que la pointe de l'iceberg.
Écoutez bien – c'est important.
Votre musée sera un endroit dont vous, vos familles et vos entreprises pourrez être fiers…
… parce que le Musée canadien pour les droits de la personne aura des retombées qui feront du Manitoba une meilleure province, du Canada un meilleur pays, et de la planète que nous habitons, un monde meilleur.
Je le dis parce que l'éducation est au cœur de notre travail au musée. Et l'éducation, comme l'a dit Nelson Mandela avec tant d'éloquence, " est l'arme la plus puissante que nous puissions utiliser pour changer le monde ".
Le musée investit autant dans l'éducation parce que celle‐ci fait de nous des gagnants à tous les égards :
Dans un monde de plus en plus internationalisé, l'éducation est notre outil le plus sûr pour vaincre les obstacles de la discrimination et de l'exclusion…
… et faire avancer plus vite les progrès humains authentiques.
Personne, pas un enfant, ne devrait jamais voir les portes des possibilités se fermer devant lui simplement en raison de qui il est.
La vie peut être difficile. La quête du succès exige un travail acharné.
Nous le savons bien.
Nous devons cependant nous efforcer de bâtir un monde sans barrières artificielles, un monde aux innombrables possibilités.
Le musée est là pour aider à ouvrir ces portes.
Nous savons qu'il n'y a pas de meilleur outil que l'éducation pour venir à bout des obstacles qui bloquent la voie des possibilités.
Nous reconnaissons également que la littératie en matière de droits de la personne est indispensable aux emplois et aux carrières de demain.
La citoyenneté mondiale, le commerce mondial, la libéralisation du commerce, la technologie axée sur la collaboration –
… tous ces éléments sont indissociables des droits de la personne.
Mais par‐dessus tout, l'éducation est un investissement dans notre avenir commun.
Lorsque nous donnons à nos enfants et à nos petits‐enfants la meilleure éducation possible, nous investissons dans un avenir dans lequel possibilité, égalité, chances et prospérité sont des fondements.
Le Musée sera un centre éducatif national.
Au musée, l'éducation est au cœur de ce que nous sommes et de ce que nous faisons.
En fait, le Musée canadien pour les droits de la personne sera la destination par excellence pour l'éducation aux droits de la personne au Canada.
C'est là notre objectif. Nous mettons déjà en place les divers éléments pour devenir cette destination.
En collaboration avec des partenaires de partout au Canada, le travail a déjà commencé. En voici quelques exemples.
L'an dernier, lorsque nous nous sommes associés à la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants pour mener un sondage auprès des éducateurs…
… on nous a dit qu'il y avait une lacune :
Les enseignants reconnaissaient qu'il était indispensable de pouvoir offrir un apprentissage sur les droits de la personne, adapté aux différents âges –
… mais la majorité a dit qu'ils n'avaient pas les ressources et les outils pédagogiques.
En y pensant bien, c'est tout à fait sensé.
Il y a cinq ans, personne n'avait jamais entendu le mot " cyberintimidation ".
Aujourd'hui, c'est un problème urgent pour les enfants, les parents et les écoles de chaque ville dans chaque province.
Les enseignants nous ont dit qu'ils avaient besoin d'aide pour ces problèmes…
… parce qu'en 2014, la technologie avance à un rythme de loin supérieur aux changements apportés aux programmes d'études. Pour les parents, les enseignants, les communautés, il devient de plus en plus difficile de tenter de suivre ce rythme.
Ainsi, en collaboration avec la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants, nous créons un répertoire national des outils pédagogiques sur les droits de la personne.
Il en résultera une trousse nationale inédite à l'intention des enseignants canadiens qui permettra à tous les enfants du Canada et à leurs parents de disposer des meilleurs outils possible sur ces problèmes particulièrement épineux.
Nous pouvons aussi utiliser la technologie pour que cette ressource soit " perpétuelle ", continuellement mise à jour au fil du temps.
C'est comme une rente à l'éducation.
Il existe donc une lacune assez grande que le musée viendra combler.
Voici un autre exemple :
Si je dis Rosa Parks ou Martin Luther King…
… tout le monde ici sait de qui je parle. Nous connaissons leurs histoires et leurs réalisations.
Mais si vous êtes comme moi, des noms comme Viola Desmond ou Chris Morrissey, ne vous disent rien. " Posez la question dans Google " (page Wiki)
Pourtant, ce sont des champions canadiens des droits de la personne. Leur œuvre a contribué à atténuer la discrimination et la souffrance d'innombrables autres personnes.
Et pourtant, nous ne les connaissons pas du tout.
Nous pensons qu'il est important que les jeunes Canadiens connaissent non seulement les défenseurs des droits de la personne aux États‐Unis, mais au Canada aussi.
Ce sont nos histoires. Des histoires distinctement canadiennes, qui racontent comment le Canada a réagi.
Si nous ne faisons aucun effort pour les consigner et les préserver, elles risquent de tomber dans l'oubli.
Le Musée canadien pour les droits de la personne veillera à ce que cela n'arrive pas.
En fait, nous avons, dans le cadre d'un projet, déjà répertorié les histoires de la vie de plus de 150 Canadiens qui se sont portés à la défense des droits de la personne.
Nous utilisons la technologie pour que ces aspects importants de notre histoire nationale se retrouvent dans nos expositions et les écoles canadiennes.
Les Américains savent comment célébrer!
Les Américains célèbrent l'histoire de l'évolution de leur démocratie. Nous pouvons aller à Washington et voir la Déclaration de l'indépendance et la Constitution.
Il est temps de faire place à nos propres histoires, celles qui ont façonné le Canada.
Nous y voyons une lacune et le Musée canadien pour les droits de la personne est résolu à combler cette lacune.
De même, pour un pays comme le Canada où les droits de la personne sont probablement notre carte de visite internationale, nous n'avons pas de centre national pour l'étude et les recherches sur les droits de la personne.
Tout cela va bientôt changer. Le Musée a vu cette lacune et va la corriger.
En fait, nous avons déjà attiré des spécialistes des droits de la personne de partout au Canada pour qu'ils participent au projet du Musée.
Ils sont ici à Winnipeg avec leurs familles; ils investissent dans notre communauté et font appel à leurs réseaux d'experts dans d'autres provinces et pays.
Je vous l'affirme : les personnes qui travaillent ou font des recherches dans le domaine des droits de la personne veulent venir ici.
En ce moment, nous avons plus de demandes de conférences et d'événements au Musée que nous ne pouvons en accueillir.
Et tout cela alors que le Musée n'est pas encore ouvert.
Grâce au Musée, au centre des congrès de Winnipeg agrandi et à nos universités, nous serons en mesure de faire de Winnipeg une destination pour ces types d'événements comme nous n'aurions jamais pu le faire auparavant.
Grâce au Musée, des gens qui autrement n'auraient peut‐être pas su situer Winnipeg sur une carte, viendront dans notre ville, nos hôtels, nos restaurants et nos magasins.
Et c'est exactement comment cela doit être : le Musée canadien pour les droits de la personne doit profiter à toute notre communauté.
Il doit enrichir nos entreprises locales; il doit créer de nouveaux emplois en exigeant de nouveaux aménagements; et il doit profiter à l'ensemble de Winnipeg et du Manitoba en produisant de nouvelles taxes importantes qui serviront à financer des projets utiles à tous.
À mon avis, ces retombées en disent long sur ce projet alors que le Musée n'est même pas encore ouvert et que ces avantages indirects se concrétisent déjà par des résultats tangibles, significatifs.
Il n'y a pas que nous qui le disons.
Certains d'entre vous lisez peut‐être régulièrement la rubrique sur l'architecture de Brent Bellamy dans le Winnipeg Free Press.
Je parlais avec Brent il y a quelques mois et il m'a dit que de nouveaux bâtiments totalisant cent dix étages ont été construits et continueront de l'être en raison du Musée canadien pour les droits de la personne.
Je lui ai demandé si je pouvais le citer à ce sujet.
Voici ce qu'il m'a répondu : " Oui, absolument. Les gens veulent en profiter. Ils veulent avoir une vue sur le Musée. "
Vous savez peut‐être qu'Economic Development Winnipeg a prévu que le Musée aurait des répercussions économiques annuelles brutes de 159 millions de dollars. Ce n'est pas trop mal.
Ce chiffre est élevé, mais pour moi, ce sont des observations comme celles de Brent qui font véritablement vivre ce genre de chiffres.
Au cours de la prochaine année, nous en entendrons beaucoup d'autres.
En novembre, lorsque nous avons annoncé notre date d'ouverture, le vice‐président principal du marketing de la Commission canadienne du tourisme est venu à Winnipeg pour l'occasion.
Il a utilisé l'expression " vecteur de changement " pour décrire le Musée.
Il a utilisé cette expression, m'a‑t-il dit, parce que le Musée canadien pour les droits de la personne offre une occasion de présenter et de commercialiser le Manitoba sur la scène nationale et internationale comme on ne pouvait le faire auparavant.
Voilà pourquoi le Musée est aussi important pour notre communauté.
Le musée peut être l'attrait principal, mais nous avons tant à offrir et à montrer au monde ici.
Les Manitobains le savent déjà, mais il est temps que tout le monde ailleurs le sache aussi.
L'Orchestre symphonique de Winnipeg, par exemple, vient d'annoncer que sa saison 2014–2015 aura pour thème les droits de la personne pour marquer l'ouverture du Musée.
Ce genre d'initiative est une synergie parfaite…
… une offre adaptée à la fois à la communauté locale et aux marchés très éloignés. Nous ne faisons que découvrir ce qu'il est possible de faire.
En fait, au cours des prochains mois, nous mettrons en place de nouveaux moyens pour que votre entreprise, votre famille et les écoles de vos enfants puissent jouer un rôle dans nos activités de l'année inaugurale.
Mon équipe a laissé des cartes sur chaque table et j'aimerais que vous inscriviez votre adresse de courriel pour que vous puissiez être les premiers à apprendre les faits et les programmes nouveaux, à mesure que nous nous approcherons de notre date d'ouverture en septembre prochain.
On m'a demandé de réserver quelques minutes aux questions et je terminerai donc par une demande :
Faites de ce projet votre projet.
Lorsque vous passerez en voiture près du Musée au cours des prochains mois, rappelez‐vous qu'un projet de cette ampleur et de cette envergure n'arrive qu'une fois dans une génération.
Il est véritablement un vecteur de changement. Soyez fiers d'en faire partie.
Pour Winnipeg et le Manitoba, le moment est extraordinaire. Je suis maintenant directeur général de ce projet remarquable depuis presque cinq ans et je ne suis pas certain que ce projet aurait pu se faire ailleurs qu'ici!
Nous l'avons construit ensemble.
C'est notre Musée canadien pour les droits de la personne.
Votre Musée canadien pour les droits de la personne.
Érigé au profit de notre communauté, pour notre avenir commun.
C'est votre Musée et je vous invite à en faire partie.
Thank you. Merci.
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Ce communiqué date de plus de deux ans. Pour plus d’information, veuillez communiquer avec Amanda Gaudes de notre équipe des relations avec les médias.